chasse aux sangliers dans le gard

Titre RE: Chasse dans le Gard au mois de mars. Lou gascoun, En ce qui me concerne, voici comment était la situation chez moi cette saison. Il y avait beaucoup de palombes en août, lors des moissons, mais, passé le 15 septembres, elles avaient toutes disparues, ne restaient que quelques palombes sédentaires, qui ont passé l'hiver. Battuesaux sangliers : une partie des Villeneuvois agacée. Plusieurs battues au sanglier et parties de chasse ont été organisées ces derniers mois. Au sein du conseil Laprolifération du sanglier est plus inquiétante encore après la décision du Conseil constitutionnel de maintenir en l'état la loi d'indemnisation des dégâts de grand gibier de 1968, qui continuera donc à concerner les seuls chasseurs. Dans l'attente de son éventuelle révision ou de certains aménagements, nous devons réfléchir aux moyens de gérer une situation qui pourrait Journéesde chasse; If this is your first visit, be sure to check out the FAQ by clicking the link above. You may have to register before you can post: click the register link above to proceed. To start viewing messages, select the forum that you want to visit from the selection below. Portailde l'Etat dans le Gers. Documents listés dans l’article : > Arrêté portant approbation d'un PGC sanglier dans les réserves d'ACCA 2020-2021 - format : PDF - 0,12 Mb - 21/07/2020 > Arrêté portant modification de l'arrêté du 25 mai 2020 relatif à l'ouverture et la clôture de la chasse 2020/2021 dans le département du Gers - format : PDF - 0,06 Mb - 21/10/2020 Jeux De Rencontre En Ligne Virtuel. Société Faits divers Une patrouille de police a surpris deux sangliers déambulant dans les rues de la ville jusqu’aux arènes et a immortalisé l’instant, rapporte France 3. Avec les couvre-feux et confinements successifs, il n'est pas rare de rencontrer des sangliers dans les espaces urbains illustration. © Willy GRAFF / MAXPPP / PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/MAXPP Comme dans toute la France, les rues de Nîmes sont habituellement désertes à partir de 18 heures, couvre-feu oblige. Pourtant, la situation profite à certains spécimens. Ainsi, samedi 30 janvier, alors qu'ils étaient en train de patrouiller dans la ville, des policiers ont surpris deux sangliers déambulant tranquillement sur le boulevard Victor-Hugo, rapporte notamment France 3. Les mammifères se sont également payé le luxe d'aller admirer les arènes de Nîmes au clair de et amusés par la scène, les fonctionnaires ont d'abord choisi d'immortaliser l'instant, avant de raccompagner les deux compères dans leur habitant naturel, sous protection », comme l'a indiqué le compte Twitter de la police nationale du proximité de la garrigue favorise les virées nocturnesInsolite, cette scène n'en est pas rare pour autant. D'après deux policières gardoises interrogées par France 3, ce n'est pas la première fois que des sangliers profitent du calme des rues de Nîmes pour s'offrir une virée nocturne. Nîmes est entourée de garrigue, donc ce n'est pas un fait rare », confie Sandy Issartel, du syndicat SGP-Police FO. On a eu des sangliers devant l'école de police de Nîmes il y a quelques mois et on en avait aussi trouvé près de l'avenue Gambetta il y a environ un an », se rappelle sa collègue, Mélissa Gil, représentante syndicale Alliance-Police LIRE AUSSILot des passants blessés, poursuivis pendant 30 minutes par un sanglier fouMais, selon les fonctionnaires, ce comportement est intimement lié aux confinements et couvre-feux successifs décrétés par le gouvernement pour lutter contre la pandémie de coronavirus. Les rues vidées de leur présence humaine, les sangliers n'ont plus peur de s'aventurer, parfois profondément, dans les espaces urbains. Mais, si, pour l'heure, cette situation ne pose aucun problème, elle devra être réévaluée à l'issue de la crise sanitaire. Pour l'instant, le danger pour l'homme reste minime, car personne n'est théoriquement autorisé à sortir de nuit », fait valoir Mélissa Gil. Mais, si le problème persiste quand tout reviendra à la normale », la fonctionnaire estime qu' il faudra trouver des solutions ». Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement À Nîmes, le couvre-feu profite… aux sangliers 11 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Dans le Sud de la France les populations de sangliers ne cesse d’augmenter. Le Gard reste le premier département en France en termes de population de sanglier. La bête noire est particulièrement présente dans la vallée du Rhône, au sud de Nîmes ainsi qu’en Camargue. En 2019-2020, le Gard a prélevé 25 355 suidés. Suite aux plaintes de certains riverains et à la demande de la municipalité, les chasseurs millavois Millau ont organisé une battue afin d’éloigner les sangliers du centre-ville. Décantonner et faire bouger les sangliers proches des villes. La semaine dernière nous apprenions que la ville de Montpellier, sous la pression des khmers verts, interdisait tout acte de chasse sur les parcelles appartenant à la ville. En bordure des villes, les sangliers trouvent le calme. Zone de repos, zone de gagnage, tranquillité, tout est parfait pour la prolifération du fameux suidés. Dans le Gard, plus exactement à Millau, on appelle les chasseurs afin d’agir sur les problématiques concernant les populations de sangliers. Ainsi suite aux plaintes des riverains et a la demande de la municipalité, les chasseurs de Millau ont organisé samedi une opération contre la bête noire. Pour ce rendez-vous d’effarouchement et de décantonnement, les adhérents de l’union des chasseurs millavois UCM et de la diane millavoise se sont retrouvés sous le signe du sanglier. La battue s’est déroulée sur les secteurs du quartier de Choisy, de Caussibol, du McDonald’s et de la côte de La Cavalerie. Il y a trois ans une opération similaire avait été organisée. Une battue sans armes, sous le signe de la sécurité Qui dit effarouchement dit sans arme. Ainsi une trentaine de chasseurs se sont retrouvés par passion et devoir afin de faire fuir un maximum de sangliers de ces zones. Il faut savoir que nous opérons sur le périmètre urbain de la ville où nous n’avons pas le droit de chasser en temps normal », souligne Claude Gibergues, président de l’UCM dans le MidiLibre. Sur ce secteur, nous n’avons pas d’armes, seulement des chiens et des hommes », complète le président de la diane millavoise. Ces battues permettent de limiter les animaux cantonnés aux zones péri-urbaines. Cependant, cette mission d’utilité publique, peut s’avérer dangereuse pour les hommes et les chiens présents. C’est dangereux, car nous n’avons rien pour nous défendre si une bête charge » témoigne un responsable de battue. Malheureusement, ou heureusement, ce jour là, aucun animal n’a été levé. Cette action a quand même permis d’assurer la sécurité de tous et de rassurer les riverains et autres usagers. Le chasseur a un rôle important qui est aujourd’hui non négligeable face à de telles problématiques. Des carcasses, des ossements, des viscères ont été retrouvés dans des avens et des failles au Garn. L’Alliance des opposants à la chasse a porté plainte et lance une campagne nationale. Des carcasses, des viscères, des ossements, des crânes de sangliers… jetés dans des failles calcaires, des avens, ou à même le sol. Voilà sur quoi sont tombés des randonneurs il y a quelques jours, près du chemin de grande randonnée GR4 au Garn, à la frontière du Gard et de l’Ardèche. "On a été alerté, on est venu sur place et pris des photos", explique Jean-Louis Chuilon, président de l’Alliance des opposants à la chasse AOC qui regroupe une trentaine d’associations de défense des animaux. "L’odeur était fétide. À côté il y a une maison de chasse, son parvis était rouge de sang" raconte-t-il. "Une infraction punie de trois ans de prison et 45 000 € d'amende" Au vu de ce triste spectacle, l’AOC "a porté plainte, auprès du procureur de la République d’Alès, contre X et contre la société de chasse qui est responsable de ces charniers". Car, rappelle ce militant associatif, "ils sont interdits depuis longtemps ! Cette infraction est punie de trois ans de prison, et de 45 000 € d’amende". Interdits car "source de contamination de l’eau, notamment dans ces massifs karstiques où l’eau s’écoule dans les sous-sols. Ce qui peut provoquer des maladies comme le choléra, l’hépatite, la légionellose…", énumère-t-il. Au-delà de cette putréfaction nocive pour l’environnement, l’AOC estime que les balles en plomb utilisées dans les fusils de chasse sont aussi un facteur "d’empoisonnement de la faune nécrophage, de la flore…". "Les chasseurs ont fait ça par facilité" Selon Jean-Louis Chuilon, "les chasseurs ont fait ça par facilité au lieu d’enterrer ces carcasses ou de faire appel à des équarrisseurs". Le directeur de la fédération des chasseurs du Gard, Marc Valat, rappelle lui aussi la nécessité de mettre les déchets dans des fosses. "Certains ne le savent peut-être pas encore…, commente-t-il pour répondre à cette polémique. Nous avons diffusé une plaquette aux adhérents pour qu’ils s’organisent" et fassent des fosses aux normes. "On ne peut pas jeter les carcasses, les os, les viscères dans la nature ! On ne peut pas faire des dépôts à ciel ouvert sauf s’il y a des vautours. En tout cas, ce n’est pas prévu qu’on jette les déchets dans des avens…" "Ces pratiques sont habituelles et personne ne bouge" Quant à la pollution par le plomb, le Gardois s’en défend. "Les balles touchent le muscle, ça ne reste pas dans les viscères et dans les déchets. Et le plomb utilisé, ça ne représente rien en volume, ça ne peut pas polluer ". Déjà, l’AOC a déposé quatre plaintes dans le département voisin de l’Ardèche suite à ce même type de problèmes. Selon l’association, "ces pratiques sont habituelles, on a de nombreux signalements et personne ne bouge". Elle a donc décidé de lancer une campagne nationale pour inciter la population à "signaler tous déchets d’animaux abandonnés dans la nature 1. Nous demandons aux gens de prendre des photos, d’indiquer les dates, lieux… Nous saisirons le procureur ". Près du GR4 au Garn, tout devrait rentrer dans l’ordre rapidement. Les chasseurs de sangliers responsables des déchets jetés sur ce territoire "vont tout enlever ce vendredi et leur président va être entendu par les gendarmes. Il va devoir se mettre en conformité", souligne le directeur des chasseurs du Gard. Des fosses réglementaires La fédération des chasseurs diffuse une plaquette auprès de ses adhérents pour leur expliquer comment enfouir les déchets issus de la chasse au grand gibier. Au-delà de deux-trois sangliers ou chevreuils à la fois, les recommandations sont d’enfouir ces déchets dans une fosse sur un terrain avec une pente inférieure à 7 %, avec l’autorisation du propriétaire, hors zones humides ou inondables, hors périmètre de protection des eaux potables ou de passage de réseaux souterrains, à plus de 100 mètres d’un cours d’eau, plan d’eau, captage d’eau pour usage domestique, à plus de 200 mètres des habitations, à plus de 50 mètres des bâtiments d’élevage. Il faut empêcher l’accès de la fosse aux animaux avec un grillage et poser un panneau informant le public. En cas de remplissage de la fosse en moyenne de 10 m de longueurx1,2m de largex1,3m de profondeur avant la fin de la période de chasse, la fédération demande de faire appel à un équarrisseur. Un compost végétal ou de la terre doit être déposé sur les déchets, puis encore de la terre quand la fosse est comblée. Il est recommandé de recouvrir les déchets avec de la chaux vive et de mettre des tôles sur les tranchées, pour éviter des infiltrations qui limite l’action de la chaux vive. Le Deal du moment Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal piégeage et chasse en France les espèces classées actuellement "chassables et non piégeables" espèces chassables Divers 5 participantsAuteurMessageARIEGEOISMessages 657Date d'inscription 12/12/2016Age 66Localisation MAZERES ariègeSujet tir et piégeage du sanglier dans le gard Jeu 22 Déc 2016 - 1134 BonjourJe ne sais pas si je suis dans la bonne consultation Projet d’arrêté ministériel portant dérogation, àtitre expérimental, aux dispositions de destruction du sanglier Susscrofa dans le département du Gard est ouverte sur le site Internet duMinistère du Développement durable. Cliquez sur le lien ci-après pour yaccéder bigfoot91AdminMessages 2855Date d'inscription 27/03/2010Age 46Localisation ile de FranceSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Jeu 22 Déc 2016 - 2232 Merci pour l'info l Ariegeois Je vais encore dire ce que j ai déjà dis dans un autre post ,je pense qu'il y a déjà bien assez de toutes les prolongations que les société de chasse ont pour ne pas a en rajouter .Prolongation du mois de mars et tir d'été à partir du premier juin ça ne leur fait quand même pas beaucoup de répits deux mois .Avant de faire tout ça, la fédération nationale des chasseurs devrait surtout aller voir les moyens mis en place par les sociétés de chasse pour limiter les populations .Mais ceci n'engage que moi . kiriquadAdminMessages 6726Date d'inscription 07/02/2014Age 66Localisation en Provence !!!!!!!!Sujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 850 Salut Michel Pour moi une bonne chose le piégeage contrôlé , cela permet de visualiser l'état sanitaire de la population . ARIEGEOISMessages 657Date d'inscription 12/12/2016Age 66Localisation MAZERES ariègeSujet tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 1632 Je n'ai pas pu résister à tous leurs commentaires.....à croire que tous ces ESCROLOS ont un système d'alerte et un modèle de réponse. à tous ceux qui n’y connaissent rien...., par ariégeois , le 23 décembre 2016 à 12h38Il est aisé de se défouler devant un écran d’ordinateur et de lâcher son "venin" sur les tueries, sur la chasse et sur les tout, il faut connaître les problèmes liées à la surpopulation de sangliers et aux dégâts que cela les journaux et voyez que ces animaux sont aussi aux portes des villes et que si rien n’est fait pour leur régulation, nous en serons bientôt vous été victime de dégâts récoltes ou champs détruits causés par ces animaux ?Savez vous qui payent la facture ? Ce sont les chasseurs et oui qui cotisent chaque année timbre gros gibier et le montant est fonction de la facture payée l’année les choses non pas d’un œil critique et partisan mais avec simplement un peu de compréhension et de fêtesMichel Christian 77AdminMessages 4573Date d'inscription 07/03/2010Age 71Localisation Ile de franceSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 1658 bravo Michel !je crois que tout est dit.+ bigfoot91AdminMessages 2855Date d'inscription 27/03/2010Age 46Localisation ile de FranceSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 1828 J ai juste quelques questions auquel j aimerais bien que tout le forum réponde si possible1 er question qui fait les tirs du sanglier a l affût en prolongation du mois de mars ?2 eme question qui fait des tirs d été a partir du premier juin ?3 eme question qui fait des battues a partir du 15 aout ?A mon avis le problème du sanglier c est comme pour les lois on en pond autant comme autant sans regardé si les premières sont bien appliquées pour en voir le résultat réel .Et puis le problème du sanglier devrait être vite réglée puisque les espagnols font un essai de contraception sur un cheptel teste .Et le politiquement correcte devrait vite trancher entre les barbares dangereux qui tire dans la campagne et le médical tout en douceur .je pense mais encore une fois ça n engage que moi certaines fédérations et certain président de chasse ne joue pas le jeu et a trop tiré sur la corde un jour ou l autre elle casse ou alors les chasseurs sont en train couper la branche sur laquelle ils sont en pensez vous vu de chez vous ???? ARIEGEOISMessages 657Date d'inscription 12/12/2016Age 66Localisation MAZERES ariègeSujet tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 1854 1°-Il n'y a que des battues administratives par le lieutenant de louvèterie, à condition bien sur qu'il y ait des dans mon département, le tir d'été ne commence que le 1er juillet3°- Chez moi, la chasse en battue aux sangliers commence le 15 aoûtOn ne peut pas "traiter" la chasse aux sangliers de la même façon sur tous les territoires. Certains départements et équipes de chasse jouent le jeu mais malheureusement certains responsables d'équipes protègent leurs sangliers pour assurer la saison prochaine et garder leurs sociétaires ou actionnaires. C'est pour cette raison que je serai favorable à une sorte de contrat entre chasseurs et propriétaires visant à établir un nombre d'animaux à prélever en fonction des comptages ou des estimations. Les équipes ne respectant pas "le tableau" seraient impactées sur le montant du timbre grand départements doivent faire face à une diminution des chasseurs et les équipes sont parfois constituées d'anciens et pour aller prendre les postes en pleine montagne ce n'est pas évident. Michel kiriquadAdminMessages 6726Date d'inscription 07/02/2014Age 66Localisation en Provence !!!!!!!!Sujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Ven 23 Déc 2016 - 1856 Salut Michel Ce que tu disais sur le Forum a Tonton , si on lit les commentaires on est énervé pour le reste de la journée ,c'est ce que j'ai fait , je regrette autant imbécillitésce que j’espère c'est de dormir cette nuit !! thierry05Messages 1365Date d'inscription 07/09/2016Age 57Localisation Saint-Bonnet en ChampsaurSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Sam 24 Déc 2016 - 1114 1er fermeture le 8/01 ou le 26/02 en fonction des unités de gestion, après, c'est battue administrative2ième tir d'été au 1/06, à poste fixe déclaré à l'avance, avec restriction sur les horaires, 3ième les battues commencent le dernier weekend d'Août pour tout le monde,si tout ça ne suffit pas il reste les tirs de nuit par le Lieutenant de louvèterie donc moi bigfoot91AdminMessages 2855Date d'inscription 27/03/2010Age 46Localisation ile de FranceSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard Sam 24 Déc 2016 - 1937 thierry05 a écrit 1er fermeture le 8/01 ou le 26/02 en fonction des unités de gestion, après, c'est battue administrative2ième tir d'été au 1/06, à poste fixe déclaré à l'avance, avec restriction sur les horaires, 3ième les battues commencent le dernier weekend d'Août pour tout le monde,si tout ça ne suffit pas il reste les tirs de nuit par le Lieutenant de louvèterie donc moi C est ça je le savais que les lieutenants avait le tir de nuit sur les sangliers J ai un de tes collègues avec qui je sors fréquemment . Contenu sponsoriséSujet Re tir et piégeage du sanglier dans le gard tir et piégeage du sanglier dans le gard Page 1 sur 1 Sujets similaires» Alerte rouge pour le sanglier dans les Landes» Le piégeage Dans les Iles » Avenir du piégeage dans le 04 ?????» Sanglier au PBR » sanglier !Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumpiégeage et chasse en France les espèces classées actuellement "chassables et non piégeables" espèces chassables DiversSauter vers ont agi contre les animaux sur le thème Chasse le 24 avril 2018 - Question parlementaire → Nationale Question N° 4616 de M. Aurélien Pradié Les Républicains - Lot M. Aurélien Pradié attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur les effets dramatiques qu'engendre la non régulation de la population des sangliers. En effet, alors que la période de chasse aux gros gibiers se termine le 28 février 2018, de nombreux Lotois, habitants, agriculteurs ou associations de chasseurs s'inquiètent des dégâts causés par cette espèce animale tant sur le plan des cultures vignes, céréales, prairies dévastés que sur les risques d'accidents causés sur les routes du territoire. En septembre 2017, la FDSEA du Lot a également alerté les pouvoirs publics sur l'augmentation des dégâts de sangliers notamment sur des trouées » qui sont en augmentation sur l'ensemble du département et ont demandé à ce que les chasseurs puissent tuer des sangliers quand il y en a. Les dégâts causés dans le département du Lot sont estimés pour les agriculteurs à 200 000 euros en 2017. En France, il y aurait 2,5 millions de sangliers. Leur population a été multipliée par quatre en vingt ans. Il s'agit d'animaux sauvages qui prolifèrent désormais aussi dans les zones urbaines. Un plan cynégétique départemental sangliers avait été mis en place en 2017 par la préfecture du Lot organisant ainsi une battue administrative qui s'est avérée insuffisante pour réguler la population de sangliers. Il lui demande la pleine prise en compte de ce sujet et le détail des mesures qui pourraient être prises afin de mettre en place un plan national de régulation de sangliers nécessaire pour la sécurité des riverains et pour la préservation et la protection du territoire. Question N° 3884 de M. Rémy Rebeyrotte La République en Marche - Saône-et-Loire M. Rémy Rebeyrotte attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur la prolifération de sangliers en bordure des villes et des centres-bourgs de la circonscription dont il est l'élu. Depuis quelques années, une surpopulation de ces suidés est constatée par la population mais aussi par les différents services de l'État. Celle-ci a pris une telle importance, qu'il n'est plus rare de constater la présence importante de ces animaux en périphérie et en bordure de communes et de centres urbains. Elle crée des dégâts extrêmement importants pour les agriculteurs et pour les riverains. Cette prolifération démontre bien l'importance de la régulation des milieux naturels et donc d'une pratique de la chasse promue et encore mieux organisée. Pour l'heure, administrations, fédérations de chasse et agriculteurs se renvoient la balle sans réussir à mettre en place une stratégie et un plan d'action pour lutter efficacement face aux conséquences de surpopulation de sangliers. Il lui demande donc si ses services peuvent prendre une initiative pour mettre l'ensemble des interlocuteurs, y compris les associations d'élus, autour de la table et définir un plan d'action qui pourrait se décliner au plan départemental et local. Question N° 7384 de M. Yannick Haury La République en Marche - Loire-Atlantique M. Yannick Haury appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur la surpopulation du grand gibier et particulièrement du sanglier. En effet, la surpopulation des sangliers est avérée dans de nombreux territoires et notamment en Loire-Atlantique. Celle-ci a des conséquences directes sur le quotidien des agriculteurs qui doivent faire face à d'importants dégâts matériels. Il semblerait que le système d'indemnisation actuel des agriculteurs ne couvre pas entièrement les dégâts qu'ils subissent. Ces indemnisations sont censées être assurées par les fédérations des chasseurs. Cependant, la surpopulation des sangliers est telle que les chasseurs n'assurent plus les indemnisations dues aux agriculteurs. Il semblerait donc que le plan national de maîtrise du sanglier, mis en œuvre en 2009, ne réponde plus à la situation actuelle. Les agriculteurs demandent de nouveaux moyens de régulation des sangliers. Ces nouvelles pratiques doivent être mises en place en concertation avec les fédérations des chasseurs et les agriculteurs. Aussi, il l'interroge sur les nouvelles solutions de régulation à mettre en place afin de mieux accompagner les agriculteurs victimes de la surpopulation des sangliers. Question N° 115 de M. Olivier Gaillard La République en Marche - Gard M. Olivier Gaillard attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur la situation gardoise face au sanglier, département qui détient le record national en nombre d'animaux abattus, mais qui en subit toujours autant les conséquences néfastes. Les dégâts frappent la vigne, qui représente la principale culture en superficie et les cultures fourragères. La sécurité publique n'est pas en reste avec les très nombreuses collisions de véhicules. Les dégâts qui ne sont pas nécessairement évoqués sont ceux que connaissent certaines activités économiques liées au tourisme tels que les campings qui se trouvent labourés par ces animaux. Les remises en état des terrains sont couteuses en temps et financièrement. Les zones de non-chasse deviennent des viviers de reproduction de l'espèce. Dans le Gard, les zones résidentielles - concernées par l'accès à la propriété - au contact des zones naturelles ouvertes à la chasse, sont devenues, au même titre que les espaces de protection spéciale Parc national des Cévennes des lieux propices à la reproduction. Or l'animal qui prolifère en zone rurale et montagneuse se dissémine pour gagner ce qui ne peut être considéré comme son habitat naturel les agglomérations. Malgré les prélèvements en hausse, avec le concours des lieutenants de louveterie, des bénévoles dévoués, la situation est encore critique, ce qui a justifié que l'État choisisse en 2017 des mesures plus drastiques contre les populations de sangliers avec l'interdiction du nourrissage depuis le 31 août, la levée des zones d'interdiction de chasse non justifiées, une ouverture maximum des périodes de chasse à droit constant, ainsi que l'expérimentation d'une dérogation au droit national autorisée par le ministère de l'environnement sur 68 communes du Gard, situées principalement au nord-est du département. Deux modes de destruction ont été testés chasse à l'affût et l'approche du début avril au 31 mai, piégeage par cage du sanglier. Les résultats sont encourageants. Il lui demande s'il est envisageable de sortir de l'expérimentation, et à quelle échéance, et de traduire au niveau règlementaire, un élargissement de la période de prélèvement des sangliers à avril et mai en modifiant l'article R. 424-8 du code de l'environnement. Cela permettrait d'élargir la période du tir anticipé à l'affût et à l'approche en amont de l'ouverture de la chasse. Il l'invite à donner toutes informations dont il dispose, pour permettre aux chasseurs de maîtriser davantage la pression exercée par le sanglier, et d'octroyer les moyens nécessaires aux fédérations départementales qui, connaissant une augmentation du timbre grand gibier pour l'indemnisation des dégâts agricoles, demeurent responsables de l'application du schéma départemental de gestion cynégétique L. 425-3 du code de l'environnement ou du plan de gestion cynégétiques L. 425-15 du code de l'environnement qui s'imposent au niveau de tous les territoires de chasse. Question N° 7643 de M. Christophe Blanchet La République en Marche - Calvados M. Christophe Blanchet alerte M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur la prolifération des sangliers et ses conséquences sur les chasseurs. L'office national de la chasse et de la faune sauvage a relevé 680 000 sangliers sur la saison 2017-2018. Il s'agit d'animaux sauvages perçus comme surabondants dans de nombreux territoires ruraux et leur présence est parfois relevée dans certaines zones périurbaines et urbaines. La prolifération des sangliers n'est pas sans conséquence elle crée des dégâts extrêmement importants pour les agriculteurs et leurs exploitations. Actuellement, administrations, fédérations de chasse et agriculteurs s'accordent pour mettre en place un plan d'action visant à réguler les conséquences de cette surpopulation. À titre d'exemple, la fédération des chasseurs du Calvados paie des dédommagements aux agriculteurs du département dont les champs sont saccagés par les sangliers. Seuls les chasseurs financent les pertes de récoltes aux agriculteurs. Il s'agit d'une mission de service public. Un constat à l'amiable est établi permettant à l'agriculteur de toucher une indemnité et non un remboursement pour une éventuelle perte d'exploitation. Le montant de cette indemnité se calcule sur la base d'un barème mini-maxi établi en commission nationale avec les syndicats agricoles. Le budget consacré à ces indemnités était de 750 000 euros pour la saison 2016-2017 contre 600 000 euros pour les précédentes années. Face à l'augmentation de ces dépenses, la Fédération des chasseurs du Calvados a fait appel à un fonds de réserve à hauteur de 85 000 euros. Ce fonds de réserve devra à nouveau être sollicité pour l'année 2018-2019 en vue d'une prévision d'une hausse similaire concernant le montant des indemnités allouées. Ainsi, pour assurer sa solvabilité, l'assemblée générale de la fédération des chasseurs du Calvados a voté, à contrecœur, des dispositifs pour financer ces dégâts. Ainsi, chaque chasseur devra désormais s'acquitter d'une nouvelle taxe de vingt euros par sanglier tué. Il est totalement anormal que les chasseurs continuent à payer des dégâts lorsqu'ils n'en sont pas responsables. C'est le cas pour les dégâts déclarés dans les zones sanctuaires, les friches industrielles, les terrains en attente de construction ou les propriétés dans lesquelles les chasseurs ne sont pas les bienvenus. Et pourtant, en tuant près de 5 000 sangliers chaque année, les chasseurs participent activement à limiter ces dégâts, tout en payant pour ceux-ci. Il lui demande donc si le Gouvernement entend revoir le dispositif réglementaire afin et de prévenir les dégâts d'une part et de soulager les conséquences de celle-ci qui pèsent sur les chasseurs français d'autre part. Source Assemblée nationale Aurélien Pradié Assemblée nationale Rémy Rebeyrotte Assemblée nationale Yannick Haury Assemblée nationale Olivier Gaillard Assemblée nationale Christophe Blanchet En savoir plus sur la question de la chasse aux sangliers RAC sur les responsabilités de l'augmentation de la population des sangliers depuis les années 1970 Blog défi écologique

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